Le matériel photo et vidéo que j’utilise !
Je tiens à préciser que je suis 100% autodidacte et que je ne me proclame pas comme étant un professionnel. J’ai choisi le matériel photo/vidéo présenté ci-dessous après de nombreuses recherches et avis de professionnels pour qu’il puisse correspondre à mes besoins et mes envies !
Le boitier
Sony A7III
J’ai choisi comme boitier d’appareil photo / caméra, le Sony A7III, un hybride qui selon moi coche toutes les cases. Dans la gamme Sony, on retrouve 3 grandes familles : les A7S, spécialisés pour la vidéo, les A7R, optimisés pour la photo, et enfin les A7, qui offrent un équilibre parfait entre les deux. C’est justement ce que je recherchais : un boîtier polyvalent, performant en photo comme en vidéo. L’A7III possède un capteur plein format de 24 Mpx, une plage ISO de 50 à 204 800, un autofocus ultra-précis avec 693 points, et peut monter à 10 im/s en rafale. Côté vidéo, il filme en 4K HDR, dispose d’une stabilisation 5 axes intégrée, le tout dans un boîtier qui reste relativement compact (650 g). Si je devais lui trouver un défaut, ce serait son écran inclinable et non entièrement rotatif… mais honnêtement, au vu du reste, c’est un détail que j’oublie vite !
L’objectif
Tamron 28-75mm F/2.8 Di III VXD G2
Pour l’optique, je me suis tourné vers le Tamron 28-75 mm f/2.8 Di III VXD G2, un objectif qui me permet d’être totalement polyvalent puisque j’ai fait le choix de n’en utiliser qu’un seul pour éviter l’encombrement en voyage. Avec son poids léger de 540 g, sa compacité et son ouverture constante à f/2.8, il est capable de répondre à tous mes besoins : du paysage, aux portraits serrés avec un joli bokeh, en passant par la vidéo. J’ai été très surpris de son autofocus qui est extrêmement rapide et précis ! Le seul petit point négatif que j’ai trouvé à cette optique Tamron : son léger vignettage à la plus grande focale. Rien de dramatique, ça se rattrape en deux clics en post-production, mais ça mérite d’être mentionné. Bref, cet objectif me permet d’être efficace et créatif dans 99 % des situations, c’est celui que j’emmène partout pour voyager léger sans jamais me sentir limité.
Le stabilisateur
Je possède également un DJI RS3 Mini, un stabilisateur super pratique quand je veux filmer de manière plus professionnelle. Je ne l’emmène pas en voyage pour faute de place, et même au quotidien, je l’utilise plutôt rarement. Mais dès que je dois filmer pour de l’événementiel ou des plans plus travaillés, il devient indispensable. Le Sony A7III est stabilisé, mais ce n’est pas comparable à un vrai stabilisateur : avec le RS3 Mini, la stabilisation 3 axes fait vraiment la différence. Il peut supporter jusqu’à 2 kg de matériel, et avec son poids léger de 795 g, il reste ultra maniable et confortable à utiliser même sur de longues prises.
Le trépied
J’utilise comme trépied un K&F Concept, super pratique quand j’ai besoin de poser l’appareil pour des plans fixes, des photos longues poses ou quand je filme en étant seul. Il peut monter jusqu’à 163cm, mais une fois replié il mesure à peine 39cm, il reste donc facile à glisser dans un sac. Ce dernier est également assez costaud pour supporter jusqu’à 8 kg, largement suffisant pour mon setup. Avec ses 1,24 kg, il reste plutôt léger et simple à manipuler. Ce n’est pas l’accessoire que j’utilise le plus souvent, mais quand j’ai besoin de stabilité ou de poser mon appareil, il fait parfaitement le job sans m’encombrer.
L’ordinateur
Pour ce qui est de la post-production, j’utilise un MacBook Air M1 (256 Go de SSD, 8 Go de RAM), que j’ai depuis maintenant 4 ans. C’est la configuration de base, mais il reste fluide et efficace notamment pour de la retouche photo sur Lightroom. En revanche, dès que je l’utilise pour du montage vidéo, je sens rapidement ses limites. Avec son écran de 13,3 pouces et son poids plume, il est très pratique à transporter et parfait pour voyager léger. J’ai pour objectif de passer à un modèle plus puissant à l’avenir, sûrement dans la gamme MacBook Pro, avec au minimum de 16 Go de RAM pour être plus à l’aise sur la partie vidéo.
Le filtre nd
J’ai aussi un filtre ND variable, le Hoya Variable Density II, en 67 mm, que j’utilise surtout en vidéo quand il fait très beau. Il me permet de garder une vitesse d’obturation adaptée, même en plein soleil, et donc d’obtenir un rendu fluide et naturel des mouvements. En photo, il est super pratique pour de l laisser l’obturateur ouvert plus longtemps et créer des effets, comme de l’eau soyeuse ou encore des nuages filés. Je l’utilise assez rarement, mais quand les conditions s’y prêtent, c’est vraiment un accessoire qui change tout.
Le disque dur
Mon disque dur LaCie Rugged Mini 2 To, c’est clairement mon coffre-fort numérique. Toute ma vie et tous mes projets sont dessus : photos, vidéos, documents... Il est assez compact et solide pour me suivre partout, et ses 2 To de stockage me permettent de stocker énormément de fichiers. Sa protection en silicone est super pratique : comme je l’emmène partout, je sais qu’il est bien protégé contre les chocs. Bref, c’est un accessoire indispensable qui me suit au quotidien.
Le téléphone
Pour mes photos et vidéos du quotidien, j’utilise un iPhone 16 Pro. Bien sûr, le rendu n’est pas le même qu’avec mon appareil photo, mais c’est un outil pratique et performant. Il possède une configuration photo et vidéo complète avec plusieurs capteurs (Un principal de 48 Mpx, un ultra-grand angle de 48 Mpx et un téléobjectif x5 de 12 Mpx), la stabilisation optique, et la possibilité de filmer en 4K à 120 fps ou en mode cinématique. Entre la photo et la vidéo, il s’en sort vraiment bien et reste idéal pour capturer des images du quotidien.
Le mini trépied
J’utilise aussi le Joby GorillaPod 3K Kit, un petit trépied ultra pratique que j’emmène partout. Léger (seulement 393g) et compact (30,5cm de hauteur), il se glisse facilement dans un sac, tout en pouvant supporter jusqu’à 3kg. Avec ses jambes flexibles lui permettent de s’accrocher un peu partout. Sa rotule orientable à 360° et le niveau à bulle intégré sont vraiment agréables à utiliser, que ce soit pour la photo ou la vidéo. Bref, un accessoire super polyvalent et fiable, parfait quand tu veux voyager léger.
Pour la prise de son, j’utilise le DJI Mic Mini, un petit micro sans fil hyper pratique pour mes vidéos. Il est ultra-léger (à peine 10 g pour l’émetteur et 17,8 g pour le récepteur), ce qui le rend parfait à glisser dans le sac sans s’encombrer. Malgré sa taille, il offre une super autonomie. Sa portée va jusqu’à 400m, donc tu peux bouger librement sans te soucier de la connexion. Il est simple à utiliser, se connecte rapidement, et le son est vraiment très propre pour sa taille. Je l’utilise à la fois avec mon téléphone et mon appareil photo.
Le micro
LA lumière
J’ai aussi une petite lumière NEEWER, super pratique que je fixe directement sur mon appareil photo. Compacte, magnétique et légère, elle permet un éclairage puissant et personnalisable, avec une température réglable de 2500K à 8500K. Avec sa batterie rechargeable de 2000 mAh, tu as vraiment une bonne autonomie. Honnêtement, c’est une lumière très complète, parfaite à emmener partout.
Les logiciels post-production
Pour retoucher mes photos, j’utilise Lightroom. Il me permet de travailler directement sur mes fichiers RAW, d’ajuster la lumière, de jouer avec les couleurs et de donner une vrai identité aux photos. Ce que j’aime, c’est qu’il est à la fois ergonomique et complet : simple à prendre en main, mais assez puissant pour aller vraiment loin dans la retouche. Avoir la possibilité d’importer ou de créer des presets est vraiment pratique pour garder une certaine cohérence dans mes photos et gagner du temps en post-traitement.
Premiere pro
Côté vidéo, je monte avec Premiere Pro. C’est un logiciel hyper pratique et quasiment sans limite en termes de créativité : que ce soit pour travailler le son, ajouter des effets, ou travailler la colorimétrie, il répond complètement à tous mes besoins. Je l’utilise surtout pour mes plus gros projets, quand je veux un rendu pro et soigné. En revanche, pour les montages plus rapides, je me prends moins la tête et passe par CapCut, qui fait très bien le job pour gagner du temps.
Lightroom
Photoshop
Pour la photo, j’ai aussi Photoshop, mais je l’utilise assez rarement. En général, Lightroom me suffit largement pour mes retouches, et je n’ouvre Photoshop que quand j’ai une modification très précise à faire que je ne peux pas gérer autrement (comme effacer un détail en particulier qui me dérange, ou retoucher un élément spécifique d’une photo). Au final, c’est un logiciel que je garde sous la main, mais dont je me sers que très peu au quotidien.
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